1. |
L'envol
04:20
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2. |
La pute d'Universal
04:30
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J'ai toujours rêvé d'être une artiste
Qui vendrait cent millions de disques
Être adulée, interviewée, photographiée et enlacée
Je rêve d'être sur le devant de la scène
Des festivals et des arènes
Je rêve qu'on me traite comme une reine
Que les hommes me voient comme une sirène
Marquer la musique contemporaine
Que mon image soit immortelle
Parler de tout sans aucune gêne
Et que malgré tout on m'aime quand même
Alors je m'inscris à 'The Voice'
On me convoque pour une audition
Je donne tout je suis à fond j'ai répété sans interruption
Je suis une pute d'universal
J'ai fais une erreur monumentale
Je ne suis rien de plus qu'une muse vénale
Qui aime dépenser votre argent sale
Quand on tape mon nom sur Google il est souvent suivi du mot 'Porn'
Du mot 'Porn'
Du mot 'Porn'
Il est souvent souvent suivi du mot 'Porn'
Du mot 'Porn'
Du mot 'Porn'
Il est souvent souvent suivi du mot 'Porn'
J'ai même gagné la compétition
Je suis passé à la télévision
Une maison de disques s'approche de moi
Et un homme me tend un contrat
Je le signe mais je ne le lis pas
Je crois tellement fort en ma voix
De toute façon je ne risque rien
Ces gens ne sont pas des requins
Je suis une pute d'universal
J'ai fais une erreur monumentale
Je ne suis rien de plus qu'une muse vénale
Qui aime dépenser votre argent sale
Quand on tape mon nom sur Google il est souvent suivi du mot 'Porn'
Du mot 'Porn'
Du mot 'Porn'
Il est souvent souvent suivi du mot 'Porn'
Du mot 'Porn'
Du mot 'Porn'
Il est souvent souvent suivi du mot 'Porn'
Six mois plus tard mon disque est là
Mais moi je ne me sens pas très bien
J'ai mal à la gorge et au cul
Je ne suis pas sûr que c'était prévu
Je ne peux plus revenir en arrière
Mon agent m'oblige à le faire
Alors je m'exécute je monte sur scène
Même si franchement je préférerais l'enfer
En plus je chante même pas mes chansons
Elles sont trop nulles pour la production
On me fait chanter des trucs bidons
Composé par un immense con
Prochain hôtel c'est décidé
Je passerai par dessus le balcon
Je n'en peux plus de tout ces gens qui pensent que je vis de ma passion !
J'étais une pute d'universal
J'ai fais une erreur monumentale
Je n'étais rien de plus qu'une muse vénale
Qui aimait dépenser votre argent sale
Je me suis pris trop d'éjac faciale pour finir sous une pierre tombale (3x
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3. |
Ma voisine
05:49
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Toutes les nuits quand je fume sur mon balcon
Je te vois en train d'embrasser un autre garçon
Tu es en culotte et lui en caleçon
Quand vous émergez de vous occupations
Tu lui sers un cocktail fruits de la passion
Et ton regard demeure toujours plein d'invitations
Tes tatouages provoquent son excitation
Il en demande encore
Tu commences par dire non...
Avant de succomber à la tentation
Tu t'agenouilles pour le gâter d'une fellation
Mais tu ignores que devant vous sur un balcon
Se tient un homme bourré d'imagination
C'est moi ton voisin, j'adore te regarder
J'adore contempler les hommes te déshabiller
Es-tu accro au sexe ? Ou prostituée ?
Je n'ai qu'un objectif : connaître la vérité
Ma voisine est-elle une belle salope ?
Une prostituée ? Ou bien une anecdote ?
Toutes les nuits je m'interroge :
Pourquoi tu ne te respectes pas ? Tu es si bonne !
Ma voisine est-elle une belle salope ?
Une prostituée ? Ou bien une anecdote ?
Toutes les nuits je m'interroge
Sur les raisons de ton besoin d'être si cochonne
Oh oui ! J'aime te voir ! J'aime te voir caché dans le noir ! (3x)
Oh oui ! J'aime te voir ! J'aime te voir ! J'aime te voir !
Tes fenêtres dépourvues du moindre rideaux
Soigne ta réputation et stimule ma libido
J'adore quand tu te penches au dessus du lavabo
Je m'imagine en levrette les mains sur le bas de ton dos
J'adore, j'adore, j'adore la couleur de ta peau
J'adore imaginer le goût de ton clito
J'adore l'idée de voir tes ongles se planter dans mon dos
Imaginer la tête que tu tires pendant la sodo...
J'adore,
Quand tu confonds fenêtre et miroir
J'adore le fait que tu aies tellement peur du noir
Le regard mutin que tu te traines quand vient le soir
Défie celui de n'importe quelle Pornstar
Je rêve de ce jour où tu voudras te faire le voisin
Celui qui fume des clopes jumelles à la main
Celui dont les yeux focussent sur tes seins
Celui qui rêve des effluves de ton satin
Ma voisine est-elle une belle salope ?
Une prostituée ? Ou bien une anecdote ?
Toutes les nuits je m'interroge :
Pourquoi tu ne te respectes pas ? Tu es si bonne !
Ma voisine est-elle une belle salope ?
Une prostituée ? Ou bien une anecdote ?
Toutes les nuits je m'interroge
Sur les raisons de ton besoin d'être si cochonne
Oh oui ! J'aime te voir ! J'aime te voir caché dans le noir ! (3x)
Oh oui ! J'aime te voir ! J'aime te voir ! J'aime te voir !
Oh oui ! J'aime te voir ! J'aime te voir ! J'aime te voir !
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4. |
Quand le jour se lève
04:36
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Où va la lune quand le jour se lève ?
Où va ma vie quand la nuit s'achève ?
Je ne peux plus respirer
J'ai le cerveau en apnée
Où vont les gens au petit matin ?
On dirait qu'ils sont en train...
En train... de prendre le train...
Le train de la vie...
Le train de l'oubli...
Le train-train quotidien
Le train... gagne pain...
Je veux faire un break
Je veux faire la fête
Avant de crever
De servir les asticots
Et avant de clamser
De mourrir comme un idiot
Moi je veux faire la fête
Je veux faire un break
Je veux boire comme un fou
Avant d'être mis en bière
Je veux être au fond du trou...
Avec ou sans prières...
Je n'ai plus un sous, pourvu qu'on m'enterre
Nourrir la vieille Gaïa de mes os de mes chaires
De mes os de mes chaires...
Où vont les larmes des enfants ?
Si ce n'est arroser, la terre des grands ?
Où vont les rires et les cris de joie ?
Si ce n'est combattre les gens de mauvaise foi
Je ne peux plus respirer
J'ai le cerveau en apnée
Moi je veux faire un break
Je veux faire la fête
Avant de crever
De servir les asticots
Et avant de clamser
De mourrir comme un idiot
Moi je veux faire la fête
Je veux faire un break
Où va la gentillesse d'un futur assassin ?
Que ses parents avec hardiesse lui avaient appris sans fin
Où vont nos amis ?
Quand la mort a pris leurs vies ?
Où vont nos misères quand l'Homme met fin à la guerre ?
Les gens se pressent
Les gens se stressent
Les gens s'enlacent
Les gens se lassent
Mais la nature elle, ne se presse pas
Tout s'accomplit
Pas à pas
Je veux faire un break
Je veux faire la fête
Avant de crever
De servir les asticots
Et avant de clamser
De mourrir comme un idiot
Moi je veux faire la fête
Je veux faire un break
Où va la lune quand le jour se lève ?
Où va ma vie quand la nuit s'achève ?
Je reste là...
Je reste las...
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5. |
L'exil de l'amour
05:52
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Une ombelle d'amour loin d'obombrer mon instinct
Des paysages nivéaux et des yeux smaragdins
Une peau melliflue et un parfum pétrichor
Des cheveux flavescents et un caractère bien fort
Ses lentilles hyalines au lieu des Ray-Ban mutines
Son cul callipyge sur lequel je posais mes mimines
Quand vient le ciel vespéral
J'aime m'alanguir en latéral
Tu t'aperçois que je crève de mal
Tâtant mes glandes lacrymales...
Nous empruntions les faux-fuyants
Quand on se baladait gaiement
On avait ce désir ardent
De s'aimer...
Mais pas trop longtemps
Quand je jouais les accords mineurs
Notre amour était majeur
Tu lénifiais toutes mes peurs
Lorsque tu caressais mon coeur
Le pâle soleil des réverbères et leurs couleur jaunâtre
Me faisait croire que je suis en enfer, j'ai juste besoin d'un psychiatre
C'est donc toi qui met en terre, cette sensation que je préfère
Celle de tout le temps me faire la guerre comme le ferait un solitaire
Quand le rideau tombera, il faudra être sur scène
Je compte sur toi pour éviter les manteaux d'arlequin
Et quand vient les pudeurs obscènes, il faut calmer les ardeurs malsaines
Calme ton taux d'oestrogène, rends ma semence homogène
Nous empruntions les faux-fuyants
Quand on se baladait gaiement
On avait ce désir ardent
De s'aimer...
Mais pas trop longtemps
Quand je jouais les accords mineurs
Notre amour était majeur
Tu lénifiais toutes mes peurs
Lorsque tu caressais mon coeur
Je me dois de te faire la cour
Je te veux pour toujours
Mais toi...
Un triste jour...
Tu as opté pour l'exil de l'amour
Ne m'impose pas ta tribade, je ne m'en remettrai jamais
Balade toi sous les arcades, sur ces lieux où l'on flânait
Ne t'avises pas de te rebéquer, à tout jamais je te l'empêcherai
Tu n'avais qu'à pas me lâcher...
Qu'à jamais m'abandonner...
Nous empruntions les faux-fuyants
Quand on se baladait gaiement
On avait ce désir ardent
De s'aimer...
Mais pas trop longtemps
Quand je jouais les accords mineurs
Notre amour était majeur
Tu lénifiais toutes mes peurs
Lorsque tu caressais mon coeur
Je me dois de te faire la cour
Je te veux pour toujours
Mais toi...
Un triste jour...
Tu as opté pour l'exil de l'amour
Pour l'exil de l'amour (2x)
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6. |
Elle est partie
03:47
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7. |
Pégase
03:20
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Je marchais dans Hochelaga
À la recherche de cette fille gaga
Celle qui se déguise en chat tout les premiers jeudis du mois
On la surnomme 'Pégase'
Tout les hommes sont amoureux
De la beauté de ses yeux et de son travail si merveilleux
Et si seulement vous saviez
Tout ce qu'elle sait faire de sa voix
Vous seriez si impressionnés
Que vous oublieriez que c'est du chinois
Je traverse Ville-Marie
À la recherche d'une chérie
Je passe pour un Français pas de chance !
Je me tire par la ligne orange...
J'atterris sur le Plateau
À la recherche d'un chouette bistrot
Ah ! Boire des pintes entre alcoolos
Se raconter des trucs rigolos
Se marrer comme des salauds
En fumant quelques Macdonald
Un goût tout juste acceptable
Mais au montant déraisonnable...
Je me dirige sur La Banquise
Je m'octroies cette gourmandise
Il est 4h00 du matin
Il n'y a pas d'heure pour avoir faim
Savez-vous qui est Pégase ?
Dans la culture Québécoise ?
Si un jour on m'offre cette extase
Je mourrai sûrement d'épectase
Cette chanson est un brouillon
La préface d'une autre histoire
Que je raconterai plus tard
Quand j'aurai fini de m'émouvoir
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8. |
À L'américaine
06:27
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Si j'avais su que je ne pourrais plus composer un jour
J'aurais cessé de faire de la musique et pour toujours
Si j'avais su que je ne pourrais plus écrire la moindre chanson
Sans que le papier ne soit taché de toutes ces rimes bidons
J'aurais arrêté la chanson...
Je me serais trouvé une autre passion pour éviter d'avoir l'air con
Pardonnez-moi mais ce n'est pas l'inspiration qui manque
J'ai autant d'idées de chansons qu'il y a d'argent dans une banque
J'ai juste la terrible impression
De jouer toujours les mêmes accords
Les mêmes enchaînements de degrés
J'aimerais voir Anatole crever !
Pourquoi devrais-je tant transpirer ?
Quand certains palpent des milliers en tapant deux notes sur un clavier ?
David Guetta prépare ses nuits...
En cinq minutes chrono le cul...
Posé dans un taxi !
Ceci est un album à l'américaine
Ceci est donc un album de merde
Je me suis donné absolument aucune peine
Je l'ai composé en moins d'une semaine
Ceci est un album à l'américaine
Ceci est donc un album de merde
Une ou deux chansons de bien sur une dizaine
C'est ce que j'appelle un album à l'américaine
À L'américaine (4x)
Ah !
Et bien sûr si je ne sors pas un album chaque année
Vous êtes tous trop occupé à dire que je n'ai rien branlé
Vous passez votre temps à juger
Pensez-vous que c'est facile ?
Essayez d'écrire une chanson !
Ou encore pire d'écrire un livre !
C'est vrai qu'on peut faire de la musique
Comme on ferait des mathématiques
Mais après ne venez pas vous plaindre
Que tous les titres sont basiques
Bon il vient le pognon là !?
Ah ouais !
Super haha
Ceci est un album à l'américaine
Ceci est donc un album de merde
Je me suis donné absolument aucune peine
Je l'ai composé en moins d'une semaine
Ceci est un album à l'américaine
Ceci est donc un album de merde
Une ou deux chansons de bien sur une dizaine
C'est ce que j'appelle un album à l'américaine
À L'américaine (4x)
Allez vas-y guitare !
Alors aujourd'hui je m'octroie le droit de sortir cette merde
Pour vous montrer qu'attendre, parfois ça vaut la peine
Essayez donc d'être indulgents
De nous laisser un peu de temps
C'est impossible qu'en courant
Nous écrivions de beaux romans
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9. |
J'arrête
04:18
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Je me souviens...
Que chaque matin...
La gueule encore si sèche...
Des abus éthyliques de la veille
Et le faciès...
Ridé par le tabac et la vieillesse
Mon corps incarnait la mollesse
Je m'empressais...
D'aller en nageant dans la romance
Embrasser l'haleine fraîche
Les lèvres sèches
De la femme de ma vie...
Les dents marrons
Et la langue blanche
Elle fond sous mes yeux comme une femme amoureuse
Mais elle chope peu à peu la tronche d'une tueuse
Je me retire un instant
Contemplant les paysages du printemps
Et voilà que dame s'enflamme distillant de l'agacement
Elle m'implore d'embrasser sa petite soeur
Et me menace de me briser le coeur
Secoué, choqué !
Que ma femme me supplie de la tromper
Je refuse
Et voilà qu'elle m'envoie une claque magistrale
SCHRACK !
Hors de question que je m'excuse
La tête tournante, je me sens devenir une buse
Et je saute sur son corps...
Décidé à lui faire cadeau de la mort
Une fois réduit en cendres...
Je l'enterre...
Dans de l'aluminium ? Du verre ? Ou de la terre ? Cuite ?
Me demandai-je...
Sa soeur...
Numéro seize...
Blanche de malaise...
Reposait camouflée sous la neige
Sous cette tombe de verre
Mon ex femme s'incinère
Laissant s'échapper un volumineux fumigène
En la rouant de coups
J'avais profité encore un coup
Du goût délicieux de son cou
En mordant frénétiquement ma proie je vis apparaitre du sang
J'aspire, j'inspire...
L'odeur de la mort qui émane de son corps d'ailleurs...
Je l'expire encore
N'ayant plus besoin de me rendre quotidiennement au Chalet du Père Sieber
Faire provision de cartouches...
De munitions de guerre...
Je jouissais de ma nouvelle liberté
En barbotant dans les eaux salées
Aux côtés de mon sentiment préféré
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10. |
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Une nuit ivre mort après avoir sifflé tout mon stock
Je me pointe devant chez toi...
Et je toque... toque... toque...
Après de longues minutes d'attente
Je te vois enfin apparaître
À travers la fenêtre
Tu ouvres, et je découvre
Que malgré tes cheveux coiffés de manière abstraite
Faute à la couette
Et tes immondes schlarpettes
Tu n'as pas changé de tête
Je me répète
Que t'avoir eu comme conquête
Me fout définitivement le bifteck
Mon était t'inquiète pas
Et d'un ton aussi sec
Tu me jettes :
'Qu'est-ce que tu veux vieux steak ? '
Là...
Je compte jusqu'à sept
Et lui dis :
'Rhaaooh je sais pas moi... une sucette ? '
Stupéfaite elle n'a pas du tout l'air satisfaite
Cela allait pourtant si bien sur sa tronche de femme parfaite
Alors là...
C'était l'échec...
Tu t'apprêtes à fermer la porte...
M'envoyer balader...
Manque de bol...
J'envoie mon pied
Pénétrer contre ton gré
Une petite partie de ton bien immobilier
J'ai pas marché trois heures dans la nuit complètement bourré pour rentrer sans baiser !
Alors ces boules là va falloir me les vider hein !
Dis-je avant de lui les exposer
Je te sens paniquer
Et rechercher dans ta poche ton cellulaire...
Tu veux téléphoner ?
Appeler qui ?
Les policiers ?
Tu veux les voir m'embarquer ?
Mais voyons ! C'est déjà fait !
Mon bébé...
Crois tu vraiment que je n'avais pas prévu le coup...
Je saute à ton cou
Et je me mets à te dévorer
Pas le temps de te traîner jusqu'à la chambre à coucher
Je me contenterai du canapé
Tu te mets à crier
Je savais que t'aimes ça
Qu'est ce que ça fait si j'y ajoute deux ou trois doigts...?
Rhoooaaah tu te mets à hurler
Je me vois obligé de te la faire sucer pour que tu finisses par te la coincer
Ce serait quand même con d'alerter le voisinage mais bon...
Je crois qu'ils ont le double vitrage
On va pas non plus en faire tout un fromage
C'est pas comme si c'était un viol
Moi j'appelle plutôt ça le syndrome nostalgique de l'ivrogne
Et puis voilà je suis désolé mais tu me manques tu sais
Et moi je peux pas résister à ce regard
Ces yeux qui ressemblent à un ciel étoilé dépourvu de nuages
Moi je peux que lui rendre hommage
T'avais beau être un plan cul
Toi et moi des choses on en a vécu
Et justement le dix-septième il me manquait...
Je crois même que j'étais amoureux enfin je sais plus
Puis...
Comment tu veux que je résiste à la douceur et aux odeurs melliflues de ta peau
À tes lèvres et à ta bouche
D'ailleurs j'adorais ta manière de faire rentrer mon trombone dans ton cou lisse
Les bruits salivaires...
Dégueulasses
Quand tu savourais ta glace
Il n'y a rien de plus bandant je crois
Et ton corps, tes seins, ton cul parfait, callipyge !
Je suis amoureux en plus tu le sais
Je voulais pas te traumatiser, te blesser
Juste te montrer que putain...
Manquer n'a jamais été un verbe aussi approprié
Oh Maeva...
Dans tes bras, sous les draps
Près de toi... j'étais moi
Trois mois
Tellement envahi par la joie
Toutefois...
Je n'ai pas su y faire...
J'aurai dû me taire
C'est pourquoi pour une fois
Il me faut accepter la tristesse et la colère
Je ne suis qu'un fantôme du passé hantant ton cimetière
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Mathieu Galland Neuchâtel, Switzerland
Mathieu Galland est un écrivain, musicien et réalisateur suisse.
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